Dimanche 25 janvier 2009 à 13:24

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/belle.jpgDeux mots. J'efface. Trois phrases. J'efface. Un paragraphe. J'efface.
Rien ne me convient. Mes mots sont maladroits et inappropriés.

Sur mon jean preferé, il y a ses mots, sa trace indélébile. Comme son nom, écrit soigneusement au feutre sur toute ma peau, sur mon Être, tout simplement. Son coeur sur le tissus, et son image derrière mes paupières. Son odeur sur mon lit.
Il y a tellement de sensation indescriptible. Le battement frénétique du coeur quand ses lèvres se sont posées sur les miennes. L'électricité du contact, me brulant d'une chaleur si douce qu'un de ces jours, je risque de me laisser y prendre, et ce, avec un plaisir démesuré.

Oui, je t'aurais laissé m'aimer, car je n'ai jamais cherché a t'en empecher. Même aujourd'hui...
Tu as sur moi, la même influence que le soleil sur une fleur. Le pouvoir d'éclairer une journée, une semaine, ou une vie. Tu peux me laisser pourrir sans vergogne. J'y survivrai sans doute un temps. 
Tu disais que j'ai un effet affolant sur toi... Mais ne te rends-tu compte de ce que tu es capable de produire en moi? Tu me fais ésperer, croire même, à une possibilité que je n'osais envisager.
Nous ne sommes pas vouées a nous détruire. Nous ne savons pas nous y prendre quand les émotions font l'impasse sur la raison.

Et toi, m'aurais-tu laisser t'aimer ?

Jeudi 22 janvier 2009 à 21:29

Cela me fait peur le ton formelle de l'organisation de notre (re) rencontre. Pour la première fois je vais me livrer entierement à Elle*. Pour la première fois, je vais ouvrir les vannes et me laisser guider par la tournure de la discussion. Et vous ne savez pas à quel point j'ai peur. Je ne connais pas l'issue de tout cela, vu que pour une fois, je me laisserais agir comme bon me sens. 
Et la formalité du lieu, de l'heure me terrifie. "Tel endroit telle heure. Ca te va, ou plus tot?" "Non, c'est bien."

Adieu les tours de passe-passe et les entourloupes.
Envoyons valser nos hontes et nos secrets.
Ouvrons les portes de nos coeurs. Sans préludes, sans limites.
Plus la peine de rougir, ni de passer par plusieurs chemins...
Tentons simplement d'être nous même, pour une fois.

Si vous saviez... Je suis tétanisée. Pour une fois, je laisserais libre court a mes fichus sentiments.

Lundi 15 décembre 2008 à 22:49

She night
- Indochine -

Là, je ne me sens pas très bien
Je crois que j'ai encore besoin de tes mains
Même si tu mens même si tu fais semblant
Ne m'en veux pas, reste encore près de moi
Toi, tu pourrais me réveiller, tout oublier et encore me pardonner
J'ai peur de tout de te perdre, mon illusion
Parce que c'est toi, toi seule qui a raison
Toi, console-moi, garde-moi encore une nuit
Si tu as l'envie, prends-moi encore
Enlève-moi une autre nuit
Ne m'en veux pas et console-moi encore une fois
Est ce que tu pourras ?
Là, tu vois, j'ai le sentiment qu'autour de nous,
Plus rien ne sera comme avant
Ne me laisse pas m'en aller seul dans les bois
Ne me laisse plus m'éloigner là éperdu
Toi, console-moi, garde-moi encore une nuit
Si tu as l'envie, prends-moi encore, écoute-moi une autre nuit
Console-moi et berce-moi encore une fois
Est ce que tu voudras ? est ce que tu vou...



Lundi 15 décembre 2008 à 21:08

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/retratsblancinegrebytrezze.jpg






Faites exploser mon coeur.
Je ferais beaucoup pour cette femme.
Merde, merde. MERDE.

 

Mercredi 26 novembre 2008 à 22:55



Et comment on fait quand on crève de ne pas pouvoir être dans ses bras à Elle* ?
Comment retenir ses fichues larmes qui brûlent ?
Comment continuer a jouer la comédie, quand on n'est pas sûre d'être encore capable d'apprendre à aimer...


 

Lundi 24 novembre 2008 à 0:53

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/LonelyRosebyDemonmiss27.jpgDimanche soir, demain pas de cours. Petite semaine en perspective, et week-end en amoureux. Et toujours Elle* dans ma tête. Avoir peur de se ré-engager dans une relation. Pourquoi pas? C'est sans doute ça, faire bonne figure. Mais j'ai mal. Un mal d'Elle*. Elle* qui est bien trop loin, comment vivre sans savoir a quoi occupe-t-elle ses journées... Est-ce assise dans la rue, a contempler les personnes passer, vivre leur vie sans se soucier d'Elle*? Ou bien, assise devant son piano, n'osant jouer de peur de se decevoir de son travail? Ou bien etait-elle* avec lui. Lui qui compte tant pour elle*. Et puis, est-il intentionné? Réussi-t-il là où moi même j'ai échoué? Lui apporte-t-il tout ce dont elle* a besoin? La liberté, et en même temps la sureté ? J'espère une réponse positive comme j'en éspère une négative. Elle* a ecrit sur sa page internet. Une constation. J'ai peur de cliquer sur le lien. Peur de lire ses mots, et pourtant, je les attendais. Peur de tout, à vrai dire. Le coeur qui bat vite, le sang montant aux tempes. J'ai tout foutu en l'air et il est trop tard pour rattraper cela. C'est bien de ma faute, je n'ai pas à me pleindre...

Dans 4 jours maintenant je serai dans les bras d'un homme. Un homme à qui je tiens. Mais un homme qui ne me fera jamais ressentir la Passion que j'avais pour cette femme. On avance, on veut faire bonne figure. Se rattraper. Vivre ? 
Mais... Je ne veux pas d'une vie sans Elle*...

Samedi 15 novembre 2008 à 15:58

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/LaRupturebyinstants.jpgEt les souvenirs m'envahissent en 1minute, chrono en main. 
Des paroles, des mots, des sourires, deux regards, une musique.

J'ai croisé Sa* soeur jeudi, et aujourd'hui Sa* mère... 
Le tout dans ces moments là, c'est de garder le sourire
De se dire qu'Elle* est heureuse, car après tout, c'est ce que l'on vous répond quand on demande a quiconque la connaissant si Elle* va bien.
Je redoute le jour où je La* croiserai. Je doute que ce jour là je serais capable d'afficher un sourire, oui, j'en doute...

C'est plus dur que ce que je n'osai penser...
Et ça brûle.


Mardi 4 novembre 2008 à 22:30

Je suis désolée pour ces articles pas tres joyeux ces derniers temps.
C'est la vie, je suppose. Ouai, on va dire ca.


http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/Thebitterendbylotonero.jpgJ'ai du mal a parlé de toi. C'est sans doute normal, il n'y a pas de règle dans le jeu acidu du coeur. J'ai souvent une boule dans la gorge quand je pense à toi, alors je pince fortement les lèvres, quitte à les mordre, pour refouler les larmes. Je hurle ton prénom, en silence, bien sur. Contrairement a ce que j'aurai souhaité, mon chagrin dur et persiste a se frayer un chemin, une fissure où s'y faufiler, pour y rester. Et il y a un espoir, minime certes, qui n'est autre que tu entendes un peu de mon mal être. Parce que moi sans toi, ce n'est pas vraiment moi (on dirait une déclaration... C'en est sans doute une.) Le silence qui regne autour de moi ne peut se briser, de même pour les cris etouffés. Mais comment combattre ton abscence, et cette distance? Je ne sais plus quoi faire. Je ne peux esperer que, quelque part, tu m'attendes.Je n'en ai pas le droit a vrai dire. J'aimerai retourner en décembre dernier, quand tu m'as declarée "Je te previens, je te considère comme mon officielle". Car aujourd'hui, je me rend compte que c'etait une fierté, Ma Fierté. J'écris ici... Tout comme notre silence d'une année, j'esperais que tu lises ici parfois. Que tu viennes a la sortie de mon lycée, en quatimini, a l'abris des regards. Je n'ai pas ton courage. Je ne pourrai pas te voir sourire, possedant une grande partie de moi. C'est un mal égoiste. J'ai un manque. Un manque énorme de toi. Dans mon coeur, il y a un éclat de verre qui a explosé, éparpillant ces débris. Comment je fais, moi maintenant? Certains me diront de tourner la page, d'autre que tu reviendras. Mais ma détresse est telle que je n'ose même pas esperer une fin heureuse. Je n'ose plus esperer froler ta peau. Ni tenir ta main. Je n'espere plus rien... Je continue de vivre ma vie. Et je suis fière que tu possèdes une partie de moi, car j'espere être toujours une partie, infime, de toi. Je sais que notre relation n'etait pas saine pour ton couple, je ne le sais que trop bien. C'est sans doute pour cela que je ne t'en veux pas d'etre partie. Comment pourrais-je t'en vouloir pour une chose que j'ai fait moi même precedement... Mais te voir dans le tram, suite a une soirée arrosée a fait exploser mon coeur. Et j'ai été troublé. De n'avoir pu lire ce que cachait tes prunelles lorsqu'elles se sont posé sur moi. Pardonne mes mots, et mes maux. Je ne veux plus te rendre la vie difficile. Et si tu savais la frayeur qui me hante. Celle de te croiser dans une ruelle, d'entendre ton rire. Devoir baisser la tete, le regard sur les pavés. Oh oui, j'ai peur... Ne m'en veux pas pour cela...
Je suppose que ceci sera mon dernier article parlant de toi, ma toute douce. Liras-tu un jour ceci ? Je ne pourrai l'affirmer..

Lundi 3 novembre 2008 à 15:52

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/theLworldbynothingsat23h05.jpg


Enfaite, Elle* a fait une chose incroyable. Elle* a réussi a me faire oublier l'autre, et de nouveau croire a une perspective d'une vie a deux heureuse. Les sentiments que j'avais enfouis, renié même, sont réapparuts. D'une force nouvelle, d'une incroyable netteté.
Et BAM, on se reprend un mur. Sauf que celui là, on ne l'a pas volé, merité même. Je ne meritai pas ses pleurs, ni son amour. Je ne suis qu'une aberration, apres tout. J'avancerai, à l'aveuglette.

Youpi, je vais tenter de voir les choses autrement.
Avancer, comme je peux.
Enterrant une partie de moi.

Vendredi 31 octobre 2008 à 10:27

Ce sentir étrangère a sa propre vie. Regarder les choses sans plus les voir. Ne plus sentir le tissus sous les doigts, ni la viande rouge en contact avec les papilles. Ne plus avoir de pensées fixes, ne pas reussir a se concentrer sur quelque chose. 
Je ne veux pas qu'Elle* parte, putain... Je ne veux pas d'une vie sans Elle*...

Et le doux son de son prénom résonne et continue de vivre en moi,
provoquant de nouvelles plaies, plus douloureuses, plus profondes...
Valentine...


http://taranea.cowblog.fr/images/photos/timelessnessbycren.jpg

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