Dimanche 15 novembre 2009 à 19:21

Lumière mêlée a la pénombre.
Et Goldman. A m'en faire péter les oreilles, Jusqu'à tout oublier, ne plus être que la suite des notes, la mélodie en elle même.
Je devrais être heureuse, j'ai tout pour. Je n'ai plus de soucis pour trouver quelqu'un avec qui sortir (mais pour ça, faudrait que mon coeur soit d'accord. C'est une autre histoire.) J'ai maigri, j'ai des resultats scolaires ni excellents ni médiocres. J'ai des amis, un meilleur ami, et une amie qui m'est proche. Demain je vais a un concert qui promet d'être genial, un nouveau téléphone. J'ai une ratoune adorable. Bref je ne manque de rien.
Mais il y a toujours ce vide. Cette pénombre qui me tord le ventre, et fausse quelque peu mon sourire. 
Ce fichu néant qui me dit "Non, tu ne peux pas être avec Lui, ça ne fonctionnera pas.".
Il y a tellement de chose que j'aimerai dire, mais ca bloque, ca forme une boule au fond de la gorge, sensation detestable.
Il faut que ca change. Je n'en peux plus.

Que Goldman et Pagny me mettent K.O. Je pourrais dormir sans faire ces horribles cauchemars.

Samedi 31 octobre 2009 à 11:09

Culpabilise-moi, encore et encore. Adieu mes bases, adieu mon sourire. Tu connaissais une partie de mon histoire. Tu savais combien mon terrible équilibre sur le fil du bonheur était fragile. Mais je m'y accroche, tout du moins j'essaye.
Amour vous avez dit? Foutaises. Complicité? Conneries.
Non, il ne faut pas que tu pleures. Ca n'en vaux pas la peine il parait. Ravale ta douleur, ravale tes larmes.
Serres les dents, et essayes de mettre un pied devant l'autre.

Putain, qu'est-ce que c'est dur. Et le pire dans tout ca, c'est que je suis la seule responsable de mon mal.
Un mal pour un mal, il n'y avait pas d'autre solution.

Geignarde va.

Vendredi 30 octobre 2009 à 20:58



Une fois de plus, j'ai fait du mal. Une personne de plus brisée. 
Il était gentil, compréhensif, mais il n'était pas fait pour moi. Je lui ai fait du mal, je lui ai dit que ça ne collait pas. Que je n'étais pas prête tout simplement. Ni plus ni moins que la vérité. Mais ça lui a fait du mal. Beaucoup de mal.
Et moi dans tout ca? Et bien moi, je me sens mal. Je repense a mon état après Valentine, après Jürgen. Et au final, il doit être détruit. Peut-être d'ici quelques jours tout sera fini. Peut-être pas.
Ca me bouffe.
Je suis qu'une putain de connasse.


Mardi 11 août 2009 à 19:14

Mais bordel, qu'est-ce que je suis en train de faire ? 
Je ne comprend plus rien.

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Vendredi 26 juin 2009 à 9:18

J'ai appris, à mes dépends, combien c'est difficile et douloureux de vivre sans Toi.

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Mercredi 6 mai 2009 à 20:45


Trop sensible.

Fuck.

Dimanche 19 avril 2009 à 11:25

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Les verres se sont enchaînés. Suivie de joints, de sourire, de rire. Bien entourée, de plus.
Puis un verre de trop. La gorgée qui ne passe pas et qui reste en travers de la gorge.
S'éloigner. Marcher. Pleurer, en restant cacher. Sentir la terre tourner.
Une amie qui me récupère, et me console du mieux qu'elle puisse.
Un baffouilli incompréhensible sort de ma bouche, n'ayant qu'un seul mot clair, net, préci, tranchant l'air.
Un prénom féminin. Un prénom qui brûle la gorge quand on l'enchaîne de sentiments et de souvenirs.
Un prénom. Quelques syllabes. Quelques larmes.
Quelle importance?
Un joint, un autre verre, et son paquet de clope et de feuille à rouler.
Pathétique? 
Vous vous attendiez à quoi ?

Mercredi 1er avril 2009 à 20:06

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Trop souvent le regard qui se perd.
Trop souvent ces absences...
Trop souvent des pensées pour une personne qui me manque.
Trop souvent le moral dans les chaussettes à rayées vertes et roses.

Dimanche 29 mars 2009 à 21:38

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  Et bien tu vois... La vérité est pourtant bien simple. Mon sourire n'est présent que grâce aux cachets multiples que j'ingurgite. Mes larmes ne sont plus là car je ne me le permet plus, je suis à sec. Je ne garde plus le silence car il me fait peur . Je lève la tête car j'ai d'autant plus peur des abimes qui règnent sous mes pieds que ce qui peut se présenter devant moi.
  J'ai comme l'impression d'être dans un bois, où le brouillard rendrait le chemin de la sortie invisible. J'ai l'impression d'être une ombre qui transperce chaque personne sans pour autant m'arrêter. J'ai plus l'impression d'être capable d'embrasser comme j'ai pu le faire avant. Plus capable de faire l'amour avec la sincérité dont je faisais part auparavant. Une coquille vide? Non, ce n'est pas ça.
  Un homme a posé ses mains sur moi. Un homme m'a embrassé, prenant possession de mes lèvres, de ma bouche. Je n'ai rien dit. Mais la magie n'était pas au rendez-vous.
  Pourquoi ne sais-je pas mentir avec quelqu'un? Pourquoi ne puis-je pas faire l'amour sans avoir un minimum d'attachement, n'ayant qu'une envie ? Pourquoi est-ce que j'ai pleuré quand il m'a prit dans ses bras ? Pourquoi ? 
  Je prend un cachet pour le sourire, un autre pour dormir, un autre pour que mon organisme fonctionne. Mais mes nuits sont pleines de cauchemars, mon sourire est faux, et mon organisme ne se stabilise pas... Et je ne supporte plus que l'on me dise "Je t'aime". Je voudrai être divisée en 1 million de goutte d'eau. Faire partie de la pluie, ou d'un courant. Averse acide, ou cascade. En glace ou en neige. Calme ou agitée. Mer d'huile ou torrent sauvage. Mais qu'importe...

Dimanche 29 mars 2009 à 12:18

J'aimerai juste qu'on me prenne dans ses bras. Que je recommence à apprécier, que je bafoue ma promesse de ne plus aimer. Que je ré-apprenne comment on fait.
Envie de sentir de nouveau le papillon dans le creux du ventre.
Mais comment fait-on, quand on ne se sent plus capable de faire confiance? De tout simplement confier ses mains à un autre, une autre ?
Comment fait-on quand on ne sait plus ni croire, ni esperer?

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