Lundi 17 novembre 2008 à 19:01

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Et c'est quand je reprend pied, quand j'arrive de nouveau a m'attacher a quelqu'un, qu'Il revient. Aux nouvelles, certes. Mais une photo, des piercings, et la nostalgie nous envahi...
Il ne faut pas que je baisse ma garde. Il ne veut pas de moi, et il m'a fait trop de mal pour que je veuille encore de Lui.
Et puis dans deux semaines, je serais dans les bras d'une personne qui m'aime, pour 2 jours, deux nuits. Garder cette perspective en tête, ne plus penser à celui qui vous a broyé le coeur.

Samedi 8 novembre 2008 à 18:39

Comme l'impression bizarre de jouer un rôle, dans une pièce de theatre qui n'est autre que ma vie.
C'est frustrant, vous ne trouvez pas?
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Vous savez quoi ? 
J'ai des regrets. Ceux de ne pas avoir compté pour certaines personnes. Enfin, de ne pas avoir fait les choses pour que je sois encore dans leurs mémoires. Il y a Lui, qui vit une histoire avec une autre, après 3mois ensemble et des promesses d'avenir. Je pense à lui au moins une fois par jour, si ce n'est plus.
Il y a Elle*, a qui je pense le soir avant de me coucher, a des moments de la journée en me demandant ce qu'elle peut bien faire.

Je joue un rôle, le miens. Celui où il faut "bien" faire pour ne pas paraitre detraquée. Parfois j'aimerai ne plus devoir tout faire pour montrer que je suis heureuse alors qu'au fond, ce n'est pas vraiment le cas.
Mais qu'importe, un peu d'herbe, un rêve, et on pense à autre chose.

Pardon, de ne pas être comme je devrais être.
Une telle situation est perturbante, ne trouvez-vous pas?

Dimanche 2 novembre 2008 à 15:06



Parfois on perd l'envie de continuer, de se battre pour avancer. 
De tout simplement sourire. On perd la capacité de jouer la comedie du bonheur.
On trébuche, on saigne, on tombe, on pleure, tout en silence. S'accrocher... Il faudrait y songer...
Je suis paumée, pour changer.
A croire que le bonheur n'est pas fait pour moi.


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Jeudi 23 octobre 2008 à 7:31

Elle est très partagée ces derniers temps. Entre l'envie de tout foutre en l'air et l'envie de se battre pour continuer. Lunatique. Un jour, elle décide d'être en forme, souriante et de se demener pour être bien, et une minute après, un message, une pensée et elle retourne dans sa bulle, baissant les yeux. Elle ne va pas terriblement bien, elle ne laisse plus personne s'approcher un peu trop de ce qu'elle est vraiment devenue.
Sa mère est fière d'elle, et elle n'ose la decevoir. Elle garde la tête haute pour ne decevoir personne. Mais à l'interieur, tout est différent. Tout est en ruine, et elle s'égare dans les débris. Parfois elle trébuche, tombe et se fait mal. Parfois elle saigne, parfois ça s'infecte. Mais on y peut rien si elle est maladroite, gauche. Elle n'arrive plus à comprendre pourquoi on lui tend la main, elle se trouve méprisable. Elle se rend compte que son habitude a se devaloriser prend de l'ampleur au fur et à mesure que le temps passe. Elle se prend la tête entre ses mains et se dit que ce n'est pas possible, qu'elle n'est pas devenue comme ça... Mais c'est bien le cas.
Elle ne sait plus quoi faire. Se ressaisir? Elle ne sait plus quoi dire, quoi penser. Elle est perdue, anéantie car elle se donne entierement aux gens, sans reserve.  Elle baisse les yeux, met un pied devant l'autre. Marcher c'est bien plus simple que de se reconstruire...

Mardi 21 octobre 2008 à 21:58

- L'arme à la main, et la larme a l'oeil... -

Dimanche 19 octobre 2008 à 14:22

Elle a le coeur qui la secoue, qui bat trop vite. Elle ferme les yeux s'imagine ailleurs. Dans un autre contexte, dans un autre corps. Rah, si seulement elle pouvait ne serait-ce que s'apprécier un peu... Est-ce une des raisons de ses tourments? Si vous saviez combien elle se hait, combien elle a envie de se foutre en l'air. Puérile? Oui sans doute. Naïve? Bien sur. Futile? Quelle question. Si seulement elle pouvait regarder en l'air, sentir le vent dans ses cheveux coupés trop courts, sans avoir la larme a l'oeil.
Elle aimerait être allongée dans un champ. Seule ? Qui sait. On l'est toujours, n'est-ce pas?


J'ai envie de m'en sortir. J'ai envie de sourire, de rire aux éclats. De jouer la provocation. Mais a coté, j'ai envie de me détruire, ne plus faire de mal. A l'intérieur, c'est le foutoir. Et je vais pleurer, car c'est un dilemme. Je suis banale. Je me hais. Fuck.

Mardi 14 octobre 2008 à 18:41

Je regarde dans mon miroir. Et qu'est-ce que je vois? Une adolescente. Mais un monstre. Des larmes sur les joues. Les lèvres tremblantes, les mains incertaines. Des doutes pleins la tête. J'ai beau me regarder longuement dans cette glace, je n'arrive pas a y voir une adolescente "comme les autres". Je me suis fait avoir, hein ? Je ne le pense pas. J'ai joué avec le feu, et je me suis brûlée plus que le bout des doigts.Cette douleur ne s'en va pas. J'essaye pourtant, je m'y acharne sincèrement, mais rien a faire. Quand la douleur semble s'atténuer quelque peu, je me cogne et ça recommence. De plus belle, et encore plus fort. Je n'arrive à rien. Je ne comprend même plus l'intérêt que certain peuvent susciter pour une personne telle que moi.


[ Image : Inoxydable ]

Samedi 11 octobre 2008 à 22:39


E
lle fout toujours tout en l'air, de toute manière.




Jeudi 2 octobre 2008 à 20:25



le monsieur de mon coeur m'a quitté, il s'est envolé avec mes rêves, alors j'ai coupé ce que j'ai pu coupé... Et en plus il les aimait, je crois, alors coupé..

Il est parti avec mes rêves. Je m'en ferais d'autre.
Il suffit d'y croire...
J'y ai cru. Mais aujourd'hui ?
J'ai les cheveux courts, je regrette. Je suis devenue détestable. Je fuis.
Situations impossibles. Sentiments refoulés.
Les clichets de l'adolescence.
Je déteste ça.


Mardi 30 septembre 2008 à 12:11

Prend toi ça dans la figure. Petite sotte.
Bim badaboum ?
Boum.

Tu croyais quoi ? Qu'il était sincère. Que tu étais la femme de sa vie ? Pfff...
Tu es trop nulle, ma pauvre Lucie.

Toi aussi tu le hais?
Tu n'as pas tourné la page, tu l'as déchirée. Et pourtant, tu sais que tu es entrain de t'en remettre.
Mais il a le don de savoir t'atteindre, hein.
Il te fait du mal, et tu le méprises.
Quoi de plus normal...

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