Jeudi 15 janvier 2009 à 0:36

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Il y a tant de choses qui aimeraient sortir mais là...
J'ai quelques difficultés ...

Mardi 13 janvier 2009 à 18:25

Dystrophie ovarienne de style OPK.
[ x ]

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Lundi 5 janvier 2009 à 19:01

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Début d'un Enfer. Du miens.
 
Et c'est parti pour les visites. Les interrogatoires. La gène.
Mais aussi d'une peur. Celle de ne jamais pouvoir avoir d'enfant.
D'une éventuelle opération.

Et si jamais ce que je redoute s'avère être réel...
Je ne donne franchement pas chèr de ma peau.

Vendredi 2 janvier 2009 à 19:28

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Aimons-nous a nous en fendre l'âme. N'ai pas peur, mon coeur est déjà mort.
Aimons-nous jusqu'aux larmes. Ne t'inquiète pas mes yeux ont déjà bien assez pleuré.
Aimons-nous à en perdre la tête. Je suis partie depuis bien longtemps.
Aimons-nous a s'en déchirer les sentiments. Qu'importe maintenant.
Aimons-nous au point de se detester. Cela n'a plus aucune importance.

 

Jeudi 11 décembre 2008 à 22:52



1an et 1 mois aujourd'hui que je n'avais pas eu de crise. Aujourd'hui, c'est de nouveau le cas.On n'oublie jamais la sensation des frissons parcourant le dos. De la sueur froide perlant sur le front. De la peur qui paralyse les yeux. Des larmes qui roulent sur les joues, en cascade.
Non. On ne s'y habitue vraiment pas à ces putains de crises pleines de spasmes.



Dimanche 7 décembre 2008 à 22:27

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/Patiencebypyromaniac.jpgQue mes souvenirs partent en fumée.
Ne tiens plus tes promesses.
Quelle importance...
Tu ne seras jamais plus mienne ...

Fais chier.

[ Et ouai, je semble tout foutre en l'air, relation de tout type, amour & amitié. ]

Keep Smile ? Fuck.

Dimanche 30 novembre 2008 à 17:45

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/LEpointdefuitebyHIHONEY.jpgVous voyez, je pensais en être capable, de jouer la comédie du bonheur. Mais non, mon visage se ferme a cette mascarade. Rien à faire. Quand on sait s'y prendre on lit en moi comme dans un livre qui vous ai grandement ouvert.
Il était gentil, affectueux, soucieux de mon bonheur. Mais mon coeur hurlait. Hurlait pour que je parte. Lui criait dessus pour qu'il retire ses mains de mon corps, sa langue de ma bouche, qu'il se retire de moi. Tout mon corps frissonnait. Puis c'en fut trop, mon corps, repugné, rejette tout. Incapacité de se nourrir, de boire. Un maigre sourire sur le visage, pour qu'il ne se doute de plus rien.. Le marché de noêl, la gare, un kebab-américain. tout ca, que j'ai fait avec Elle* il y a un an, nos retrouvailles. Et mes entrailles qui se tordent. L'envie de m'enfuir, en courant, vite tellement vite... Elle* n'était qu'à quelques rues de moi... J'aurais tout donné pour me casser la rejoindre, la prendre par la mains, fondre en larme dans ses bras, en lui demandant des excuses, puis partir, loin, tellement loin de tout, juste avec Elle*.
Ce soir, je suis rentrée, les larmes sur les joues. Si vous saviez combien on se sent seule quand on doit passer un week-end avec un homme qui vous aime, et que vous ne ressentez rien en retour... Combien le temps parrait long et brûlant...

Je ne veux plus jamais ressentir ca. Ne plus jamais fuir quelqu'un. Plus de faux sourires..

Mardi 25 novembre 2008 à 20:11

Besoin d'évacuer la douleur. Une question s'impose : "Comment?". Je ne sais pas, mais il va falloir que je trouve. Je ne peux hurler, on me prendrait pour une folle. Alors je le fais, en silence, à l'abris de tous. Du Dionysos, des larmes. "Fouiller les souvenirs et les rêves, Dans la poubelle à passion...". Une peur. Pour Elle. Qui vit à peu de chose près, la même chose. Une peur qui s'accroche...
Revenir à la surface... Peu à peu...
Oui, Il m'a détruite. Non ce n'était pas un connard. Il avait sans doute ses raisons.

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[ Besoin d'être évacuer. D'urgence. ]

Lundi 24 novembre 2008 à 18:15

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/DosbyFebbraio.jpg


Faites Le sortir de là, putain !
J'en peux plus !
Faites Le sortir de ma tête et de mon coeur...
Je vous en supplie, j'explose...

Lundi 24 novembre 2008 à 13:37

http://taranea.cowblog.fr/images/1/article/RockybyMJ84StockPhotos.jpgComme un plongeon toujours plus profond dans les méandres de mon être. C'est quoi cette comédie que je me force a jouer? Pourquoi autant d'indifférence? Pourquoi autant de stupéfiants? Pourquoi tant de mots imprécis? Pourquoi autant de maux, tout simplement? Pourquoi les enfouir sous un masque ?! Je me suis toujours menti, je suis la meilleure a ce jeu là. Je ne me voile plus la face. Je suis amoureuse. De deux personnes. D'une femme et d'un homme. Tout deux ne veulent plus de moi. Suis-je à ce point répugnante? Est-ce impossible de m'aimer? Pourquoi sont-ils parti si ce n'est pas pour ces raisons? Suis-je invivable? Mon sale caractère me détruit-il à nouveau ? 
C'est comme un plongeon en haut d'une falaise. Au début, la peur d'arriver en bas, de sentir l'eau geler chacun de mes membres. Puis, arrive une tout autre peur : celle de ne jamais regagner la surface. Et avant de sauter, qui n'espere pas sentir Sa main, à elle ou a lui, sur son épaule, et dire "allez viens, on rentre ensemble" ?
Non je ne parle de suicide, j'ai passé cette période. Mais juste d'un mal être. Qui dur, qui dur... Depuis le 24 Août. Depuis cette date où je dois apprendre par moi même comment on avance. Où j'ai du comprendre seule ce qu'était ce vide horrible en moi. Que je comble à grand coup d'alcool, de drogue, et de sexe. Mais helas ce sont des choses éphemères... Alors on se construit une protection, encore plus dure, encore plus grande, renforcé par des sourires faux, des projets d'avenir qui n'aboutiront jamais.
Et on ne croit plus au véritable amour.
Et la seule personne en qui vous placer votre espoir, c'est cette femme. Cette femme vers qui vous vous tourner a chaque fois que rien ne va.
Mais hélàs, je suis partie trop longtemps. Brisant son coeur. Impardonnable.

Je fais du surplace, donnant l'impression d'avancer. Je n'espere plus voir son regard à Lui se poser sur moi comme autrefois. Je n'ose plus penser à sa peau à elle, frémissante et fraiche, contre la mienne...
Me pardonnerez-vous d'avoir sauter?

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