Vous voyez, je pensais en être capable, de jouer la comédie du bonheur. Mais non, mon visage se ferme a cette mascarade. Rien à faire. Quand on sait s'y prendre on lit en moi comme dans un livre qui vous ai grandement ouvert.
Il était gentil, affectueux, soucieux de mon bonheur. Mais mon coeur hurlait. Hurlait pour que je parte. Lui criait dessus pour qu'il retire ses mains de mon corps, sa langue de ma bouche, qu'il se retire de moi. Tout mon corps frissonnait. Puis c'en fut trop, mon corps, repugné, rejette tout. Incapacité de se nourrir, de boire. Un maigre sourire sur le visage, pour qu'il ne se doute de plus rien.. Le marché de noêl, la gare, un kebab-américain. tout ca, que j'ai fait avec Elle* il y a un an, nos retrouvailles. Et mes entrailles qui se tordent. L'envie de m'enfuir, en courant, vite tellement vite... Elle* n'était qu'à quelques rues de moi... J'aurais tout donné pour me casser la rejoindre, la prendre par la mains, fondre en larme dans ses bras, en lui demandant des excuses, puis partir, loin, tellement loin de tout, juste avec Elle*.
Ce soir, je suis rentrée, les larmes sur les joues. Si vous saviez combien on se sent seule quand on doit passer un week-end avec un homme qui vous aime, et que vous ne ressentez rien en retour... Combien le temps parrait long et brûlant...
Je ne veux plus jamais ressentir ca. Ne plus jamais fuir quelqu'un. Plus de faux sourires..
Il était gentil, affectueux, soucieux de mon bonheur. Mais mon coeur hurlait. Hurlait pour que je parte. Lui criait dessus pour qu'il retire ses mains de mon corps, sa langue de ma bouche, qu'il se retire de moi. Tout mon corps frissonnait. Puis c'en fut trop, mon corps, repugné, rejette tout. Incapacité de se nourrir, de boire. Un maigre sourire sur le visage, pour qu'il ne se doute de plus rien.. Le marché de noêl, la gare, un kebab-américain. tout ca, que j'ai fait avec Elle* il y a un an, nos retrouvailles. Et mes entrailles qui se tordent. L'envie de m'enfuir, en courant, vite tellement vite... Elle* n'était qu'à quelques rues de moi... J'aurais tout donné pour me casser la rejoindre, la prendre par la mains, fondre en larme dans ses bras, en lui demandant des excuses, puis partir, loin, tellement loin de tout, juste avec Elle*.
Ce soir, je suis rentrée, les larmes sur les joues. Si vous saviez combien on se sent seule quand on doit passer un week-end avec un homme qui vous aime, et que vous ne ressentez rien en retour... Combien le temps parrait long et brûlant...
Je ne veux plus jamais ressentir ca. Ne plus jamais fuir quelqu'un. Plus de faux sourires..