J'ai peur. Mon Dieu, je m'y attache ...
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Taranea
Regarde bien aux fonds de mes prunelles. Qu'y vois-tu ? Rien ? C'est normal.
Lundi 1er juin 2009 à 21:44
J'ai peur. Mon Dieu, je m'y attache ...
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Jeudi 28 mai 2009 à 20:14
J'ai tant rêver de te tenir contre moi. Mes bras autour de tes hanches, ton souffle dans mon cou. Une main sur tes reins, l'autre dans ta chevelure. Laissant mes doigts la parcourir, s'y accrocher, me sentir retenue par celle-ci. Combien de fois ai-je espéré que tes yeux si noirs se posent sur moi. Combien de fois ai-je rêvé de simplicité. Mais rien ne sera jamais plus simple. Mes muscles sont endoloris, mes vertèbres fatiguées, mes lèvres usées des faux sourires. Amères commissures. Acides regrets.
Combien de fois m'as-tu hanté, occupée mes moindres pensées extravagantes.
V* pourquoi es-tu partie ? Je suis seule. Entourée, mais separée de la seule qui savait lire. Hélas, il y a tant que chose à te dire, mais si peu de mots pour m'exprimer. Tant de gestes dans le vide. Des souvenirs tourbillonnant a la quête du nul part.
Je parle trop de Toi*. On me dit de t'oublier. On me dit de tout laisser tomber. Mais comment expliquer l'inexplicable ? Comment ne pas hurler que je ne le veux pas, et que j'en suis probablement incapable ?
J'espère que Ta* veste te fera penser de temps en temps à moi. Et aussi... A la dernière fois ou je t'ai serrée dans mes bras. La dernière fois où on était véritablement ensemble. Et un semblant de bonheur.
Souviens-toi, Jolie*...
Je t'en supplie.
Combien de fois m'as-tu hanté, occupée mes moindres pensées extravagantes.
V* pourquoi es-tu partie ? Je suis seule. Entourée, mais separée de la seule qui savait lire. Hélas, il y a tant que chose à te dire, mais si peu de mots pour m'exprimer. Tant de gestes dans le vide. Des souvenirs tourbillonnant a la quête du nul part.
Je parle trop de Toi*. On me dit de t'oublier. On me dit de tout laisser tomber. Mais comment expliquer l'inexplicable ? Comment ne pas hurler que je ne le veux pas, et que j'en suis probablement incapable ?
J'espère que Ta* veste te fera penser de temps en temps à moi. Et aussi... A la dernière fois ou je t'ai serrée dans mes bras. La dernière fois où on était véritablement ensemble. Et un semblant de bonheur.
Souviens-toi, Jolie*...
Je t'en supplie.
Lundi 25 mai 2009 à 16:43
"Elle a brisé la fleur sacré, qu'il ne fallait pas toucher"
Dimanche 24 mai 2009 à 12:30
Comment sauver une vie ?
Comment rattraper une existence ?
Comment continuer à croire, a espérer ?
Comment trouver les réponses a nos interrogations ?
Comment sourire quand on a qu'une envie, celle de pleurer ?
Comment arrêter de s'enfoncer toujours et encore plus bas qu'hier ?
Comment sauve-t-on une vie, une existence ?
Comment ?
Samedi 23 mai 2009 à 14:03
Sans oser parler, juste en lisant. Sans tout connaître, juste en devinant. Ce qui se cache derrière les mots. Pas assez de mots. Pas vraiment le choix quand tout se casse. Alors écoutes .. Rien de beau. Juste une musique à ton nom qui, je trouve, colle à ton histoire.
Sans oser parler de j'ai débarqué dans ton monde. Je me suis incrustée et ce n'est peut être pas désiré. Juste des mots et au fond c'est pas assez parce que les mots ne veulent pas dire quelque chose.
Heart.of.st0ne
Dimanche 17 mai 2009 à 19:59
Passer une semaine difficile. Être incapable de rester en cours, les larmes trop proches des cils. Et le week-end, boire, pas pour s'amuser, pour oublier. Mais l'alcool triste. Pleurer a chaudes larmes dans les bras de mes amies. Vomir tripes et boyaux. Et puis se haïr...
Tu sais, ce n'est pas par les années passées que tu m'as détruits. C'est en me retirant mes souvenirs. C'est en te retirant de mon coeur. C'est ainsi que tu bombardes mon château, mes fondations. Mais que veux-tu, les choses sont ainsi.
Qu'importe...
Tu sais, ce n'est pas par les années passées que tu m'as détruits. C'est en me retirant mes souvenirs. C'est en te retirant de mon coeur. C'est ainsi que tu bombardes mon château, mes fondations. Mais que veux-tu, les choses sont ainsi.
Qu'importe...
Lundi 11 mai 2009 à 6:56
Hier, j'aurais tellement aimé être plus forte que ça.
Et ne pas pleurer.
Oui, j'aurais aimé...
Samedi 9 mai 2009 à 19:02
(Photo : Piercing de Constance )
Parce qu'après tout, vous êtes géniales. Ma Lu, Constance, Margo, au jour d'aujourd'hui, je ne sais pas ce que je ferais sans vous. Vous avez été là lorsque je me fermai a tout le monde. Jamais une parole déplacée. Toujours a essayer de me rendre mon sourire perdu. Toujours là lors de mes soucis de santé ou de coeur. A me tendre la main quand je trébuchais, sans me laisser tomber quand je refusais toute aide pour rester dans ma bulle. Me soutenant lors de ma prise d'anti-depresseurs.
Merci, merci beaucoup les filles. D'avoir été là ces derniers temps. Ces deux dernières années. Car quoi que disent les gens, ça durera, je ne souhaite que cela.
Merci, merci beaucoup les filles. D'avoir été là ces derniers temps. Ces deux dernières années. Car quoi que disent les gens, ça durera, je ne souhaite que cela.
Dimanche 3 mai 2009 à 20:10
Les yeux abimés
Le coeur atrophié
Les souvenirs saccagés.
Je souris à l'idée qu'un jour j'ai été l'exception d'une personne.
Je me plais a penser qu'un jour j'ai été nécessaire a quelqu'un.
Je ne regrette pas ma décision de partir un jour dans un autre pays.
Tout quitter. Donner ma vie aux autres a défaut de la vivre pour moi.
Sentir que sa vie puisse servir à quelqu'un d'autre.
Et partir...
Le corps mordu par l'effroi.
Les lèvres mordues au sang.
Un faible sourire.
De l'espoir ?
La volonté d'un oubli.
Le coeur atrophié
Les souvenirs saccagés.
Je souris à l'idée qu'un jour j'ai été l'exception d'une personne.
Je me plais a penser qu'un jour j'ai été nécessaire a quelqu'un.
Je ne regrette pas ma décision de partir un jour dans un autre pays.
Tout quitter. Donner ma vie aux autres a défaut de la vivre pour moi.
Sentir que sa vie puisse servir à quelqu'un d'autre.
Et partir...
Le corps mordu par l'effroi.
Les lèvres mordues au sang.
Un faible sourire.
De l'espoir ?
La volonté d'un oubli.