Tu as toujours été devant moi, et je n'étais pas fichue d'ouvrir les yeux sur celle que tu étais. Tu avais tellement peur que le vent te froisse, qu'un regard inattendu te transperce, et découvre ton petit bout de cœur gelé. Tu as eu peur la première fois qu'une personne t'ai touché l'épaule en te disant "ne t'inquiète donc pas, la nuit n'est pas ton ennemie.". Tu as tremblé quand le silence t’a entouré, quand la solitude t’a croqué une joue, puis une hanche. Je te comprends. C'est terrifiant.
Quant aux cauchemars qui te hantent la nuit, pense aux lampadaires éteints, comme morts. C'est comme tout, il suffit de rallumer à coups d'espoirs les rêves que tu as jetés à la poubelle...
Tu ne seras plus jamais seule, tu le sais ?
Je veillerais sur toi, reste dans mes bras, le silence ne sera plus dangereux.
Les pulsations de mon cœur l'empêchera de trop t'approcher.
Fais-moi confiance.