Tu es la plus belle catastrophe qui est arrivé dans ma vie. Tu as hanté mes pensées, envahi mon corps, le recouvrant de tes mots, de tes lèvres. Tu m'as completement envoutée. A tel point, qu'aujourd'hui, j'ai un sourire douloureux quand je t'imagine avec ta nouvelle conquete. Mes yeux se sont sans doute eteinds lorsque tu m'as dit que tu ne tenais plus la distance. Mais pourtant... Tu continues a habiter mes rêves, même si en l'occurence cette torture me donne plutôt un arrière gout de cauchemard. Tu y es, bien trop présent. Je ressens le fourmillement qu'il y avait au bout de mes doigts quand ta peau frolait la mienne. Je revoyais ton sourire, ton si beau sourire. Celui que tu me faisais, naturellement, pas cette esquisse provisoire et loin de la vérité. Même si physiquement tu avais changé, tu étais le même. Le temps d'un rêve, tu es redevenu ma goyave. Le temps d'une nuit tu etais de nouveau celui qui était miens.
Mais le jour se lève et mes disillusions partent. Laissant dans le coeur, une fissure énorme, dûe aux affres d'une relation passionnée interrompue brutalement. Les dégats étaient, sont, et seront toujours d'une ampleur certaine. Le reveil est dur. J'aurai aimé ne jamais me reveiller, ne jamais ressentir cette douleur. Tu m'as quitté, je n'en reviens toujours pas. Mes souvenirs me semblent faux. Est-ce moi qui les ai vécu ? Non. C'est une autre Lucie. Une Lucie qui était heureuse, prennait la vie comme elle lui venait.
Tu as tellement changé de choses en moi. Je ne pouvais en sortir indemne, il faut l'avouer.
Jamais je ne te retrouverai, je le sais, Jürgen.
*Soupir*
Ma vie en devient incomprehensible tant je ressens de choses differentes pour des personnes opposées. Quand mon coeur cessera-t-il ses fourberies ?
Mais le jour se lève et mes disillusions partent. Laissant dans le coeur, une fissure énorme, dûe aux affres d'une relation passionnée interrompue brutalement. Les dégats étaient, sont, et seront toujours d'une ampleur certaine. Le reveil est dur. J'aurai aimé ne jamais me reveiller, ne jamais ressentir cette douleur. Tu m'as quitté, je n'en reviens toujours pas. Mes souvenirs me semblent faux. Est-ce moi qui les ai vécu ? Non. C'est une autre Lucie. Une Lucie qui était heureuse, prennait la vie comme elle lui venait.
Tu as tellement changé de choses en moi. Je ne pouvais en sortir indemne, il faut l'avouer.
Jamais je ne te retrouverai, je le sais, Jürgen.
*Soupir*
Ma vie en devient incomprehensible tant je ressens de choses differentes pour des personnes opposées. Quand mon coeur cessera-t-il ses fourberies ?