"Elle a brisé la fleur sacré, qu'il ne fallait pas toucher"
Lundi 25 mai 2009 à 16:43
"Elle a brisé la fleur sacré, qu'il ne fallait pas toucher"
Dimanche 24 mai 2009 à 12:30
Comment sauver une vie ?
Comment rattraper une existence ?
Comment continuer à croire, a espérer ?
Comment trouver les réponses a nos interrogations ?
Comment sourire quand on a qu'une envie, celle de pleurer ?
Comment arrêter de s'enfoncer toujours et encore plus bas qu'hier ?
Comment sauve-t-on une vie, une existence ?
Comment ?
Dimanche 17 mai 2009 à 19:59
Passer une semaine difficile. Être incapable de rester en cours, les larmes trop proches des cils. Et le week-end, boire, pas pour s'amuser, pour oublier. Mais l'alcool triste. Pleurer a chaudes larmes dans les bras de mes amies. Vomir tripes et boyaux. Et puis se haïr...
Tu sais, ce n'est pas par les années passées que tu m'as détruits. C'est en me retirant mes souvenirs. C'est en te retirant de mon coeur. C'est ainsi que tu bombardes mon château, mes fondations. Mais que veux-tu, les choses sont ainsi.
Qu'importe...
Tu sais, ce n'est pas par les années passées que tu m'as détruits. C'est en me retirant mes souvenirs. C'est en te retirant de mon coeur. C'est ainsi que tu bombardes mon château, mes fondations. Mais que veux-tu, les choses sont ainsi.
Qu'importe...
Lundi 11 mai 2009 à 6:56
Hier, j'aurais tellement aimé être plus forte que ça.
Et ne pas pleurer.
Oui, j'aurais aimé...
Mardi 28 avril 2009 à 11:22
J'ai le don de détruire tout ce qu'il y a de l'importance pour moi.
Faut que j'arrête le massacre.
Fuck.
Mercredi 22 avril 2009 à 18:49
Je ne supporte même pas qu'il me drague.
J'ai du mal quand on s'intéresse un peu trop à moi.
Je ne veux plus imaginer un corps au dessus du miens.
Ca me répugne.
J'espère qu'un jour cela changera.
Ca me fiche la nausée.
Mardi 21 avril 2009 à 20:54
Question de jour.
Si nous ne sommes pas le lendemain de lundi ou le jour avant jeudi, que demain n'est pas dimanche, que ce n'était pas dimanche hier et que le jour d'après-demain n'est pas samedi, et que le jour avant hier n'était pas mercredi, quel jour sommes-nous ?
A vos méninges...
Si nous ne sommes pas le lendemain de lundi ou le jour avant jeudi, que demain n'est pas dimanche, que ce n'était pas dimanche hier et que le jour d'après-demain n'est pas samedi, et que le jour avant hier n'était pas mercredi, quel jour sommes-nous ?
A vos méninges...
Mardi 7 avril 2009 à 19:22
Je ne sais plus vraiment quoi dire.
Les mots me manquent, mon quotidien est repetitif. Je ne vis pas vraiment, je regarde les jours passer. Parfois un evenement ou un autre, fait battre mon coeur et me fait sourire. Des souvenirs me hantent. Mais qu'importe.
J'attends. Oui mais quoi ? Non je n'attend pas (plus?) l'amour. Le temps continue de s'écouler, et moi de m'écrouler. En silence. Seule par moment, étouffée par des présences à d'autre.
Je ne sais vraiment plus quoi vous dire. Les mots me manquent.
Que dire de plus ?
≈ Never think. ≈
Dimanche 22 mars 2009 à 20:53
La volonté ardente de s'enfuir. De se construire de nouveau des rêves. Pas d'amour dans ma vie, je vous en prie. Un froid dans le coeur, qui n'est autre que de la peur. Peur de quoi ? Mais de Toi voyons. Horrible sentiment. On ferme les yeux, et on part en voyage avec les personnes qui comptent pour nous. On repense aux personnes détestables qui nous ont tout simplement tâché l'existence.
De drôles d'idées me traversent l'esprit. De drôles d'envies bouleversent mon quotidien.
Là, j'aimerai être sous un cerisier en fleur, avec une personne bien précise, un livre a la main. Son odeur mêlée a celle de l'arbre, qui parviendrait doucement a mes narines.
Oui, j'en rêve de ce cerisier en fleur.
Toi, qui semble m'avoir mise de côté, reléguée aux pages du passé que l'on souhaite oublier.
Oui, Toi.
De drôles d'idées me traversent l'esprit. De drôles d'envies bouleversent mon quotidien.
Là, j'aimerai être sous un cerisier en fleur, avec une personne bien précise, un livre a la main. Son odeur mêlée a celle de l'arbre, qui parviendrait doucement a mes narines.
Oui, j'en rêve de ce cerisier en fleur.
Toi, qui semble m'avoir mise de côté, reléguée aux pages du passé que l'on souhaite oublier.
Oui, Toi.
[non, ceci n'est pas un cerisier en fleur... Hélas ! ]
« - Lucie, tu n'as jamais eu de chance en amour, n'est-ce pas? Qu'est-ce que j'aimerai être plus proche de toi, au niveau de la distance, a tous les niveaux...
- Mais tu sais, je suis forte
- Non, ton sourire n'est plus franc, tes yeux sont morts, et quand tu penses qu'on ne te regarde pas, tes prunelles guettent l'ailleurs en esperant voir je ne sais qui débarquer et te sauver de tes propres griffes. Mais cette personne ne vient, et tu avales des antidépresseurs. Alors non, ne me dit pas que tu es forte. »
- Mais tu sais, je suis forte
- Non, ton sourire n'est plus franc, tes yeux sont morts, et quand tu penses qu'on ne te regarde pas, tes prunelles guettent l'ailleurs en esperant voir je ne sais qui débarquer et te sauver de tes propres griffes. Mais cette personne ne vient, et tu avales des antidépresseurs. Alors non, ne me dit pas que tu es forte. »
Mercredi 11 mars 2009 à 20:16
On se doit de de cacher la réalité.
Je me le dois.
Un jour, peut-être me le pardonnerez-vous...