Un énorme besoin d'affection...
Lundi 9 mars 2009 à 19:59
Un énorme besoin d'affection...
Jeudi 26 février 2009 à 20:54
Tu as toujours été devant moi, et je n'étais pas fichue d'ouvrir les yeux sur celle que tu étais. Tu avais tellement peur que le vent te froisse, qu'un regard inattendu te transperce, et découvre ton petit bout de cœur gelé. Tu as eu peur la première fois qu'une personne t'ai touché l'épaule en te disant "ne t'inquiète donc pas, la nuit n'est pas ton ennemie.". Tu as tremblé quand le silence t’a entouré, quand la solitude t’a croqué une joue, puis une hanche. Je te comprends. C'est terrifiant.
Quant aux cauchemars qui te hantent la nuit, pense aux lampadaires éteints, comme morts. C'est comme tout, il suffit de rallumer à coups d'espoirs les rêves que tu as jetés à la poubelle...
Tu ne seras plus jamais seule, tu le sais ?
Je veillerais sur toi, reste dans mes bras, le silence ne sera plus dangereux.
Les pulsations de mon cœur l'empêchera de trop t'approcher.
Fais-moi confiance.
Jeudi 26 février 2009 à 19:14
«Tu me manques aussi. Jamais je ne pourrais dire ces mots. Je serais bien embarrassé si elle rappelait. Bien obligé d'en informer Aline. Est-ce que je l'informais quand j'écrivais des poésies où le nom d'Alba faisait l'effet d'un fruit que l'on presse sur ses lèvres ? Et le pressant sur mes lèvres j'aspirais goulûment un venin dont le goût, ma foi, ne m'était pas étranger : la trahison. Le traître est un double jouer. Le traître regarde Aline aller et venir, il lui tarde de la voir consulter l'heure en disant : déjà ? pour le gratifier d'un dernier baiser au vol, débarrassant les lieux. Le traître est impatient d'être seul pour mieux échafauder ses manigances et que la voie soit libre quand Alba ne pourra pas s'empêcher de dire à nouveau : tu m'as manqué... A cette idée il n'en peut plus d'excitation. L'après-midi il retourne rôder rue Marie-Rose, ancien quartier d'Alba, il a dormi chez elle, il s'en souvient. On lui dit qu'on ne l'a jamais revue. On se demande ce qu'elle a bien pu faire pour qu'il la décrive avec cette minutie. On pense qu'il est un policier, un amant. Il est évidemment les deux. Il n'oserait jamais l'avouer à son père au cours de la nuit, mais il ressent que sa vie, depuis quelque temps, a un sens. Un mauvais sens ? Tu parles, elle est axée par la trahison. »
[ Yann Queffélec ]
Mardi 24 février 2009 à 6:58
Il a fallut que je rêve d'Elle*. Elle*, et rien qu'Elle*. Des retrouvailles. De la pudeur.
Putain, faites moi sauté la cervelle, je crois que je me suis accrochée à Elle*, et je ne veux plus La* perdre.
Je l'aime.
Faites chier.
Putain, faites moi sauté la cervelle, je crois que je me suis accrochée à Elle*, et je ne veux plus La* perdre.
Je l'aime.
Faites chier.
Lundi 9 février 2009 à 18:04
Et si demain, je n'etais tout simplement plus la même qu'hier ou qu'aujourd'hui ?
La neige ne suffit plus à mon bonheur.
Mais putain... Qu'est-ce que j'ai ?
La neige ne suffit plus à mon bonheur.
Mais putain... Qu'est-ce que j'ai ?
Lundi 2 février 2009 à 20:22
Je me noie dans les mots de Shakespeare, de Voltaire, de Maupassant et de tant d'autre écrivain.
Je m'oublie dans la lecture, occultant ces sentiments troublants qui se chamaillent à l'interieur.
C'est mon moyen de respirer.
Ou tout simplement d'oublier.
Faites que j'en fasse une overdose et succombe a la beauté de ces mots.
Lundi 26 janvier 2009 à 18:25
Et bah tu vois, miantenant tout de suite là, j'ai peur. Je suis terrorisée a l'idée que j'ai fait un bout de chemin en vain. Personne ne le remarque mais je m'améliore. Tu ne l'as pas vu hein? Et puis, Elle* m'a dit que mes yeux avaient perdus de leurs paillettes. Et bien, moi, je trouve qu'ils sont un peu mieux depuis quelques jours. Oui, le noir me fait toujours peur.Parfois j'aimerai prendre ma veste, mes clopes, et partir a travers champs. Juste pour penser a autre chose, avoir la tête au frais. Tu comprends pas ce que je veux dire hein?
A l'interieur, c'est tout froid, tout obscur. Mais tu sais, l'air se rechauffe, ca met longtemps a passé du negatif au positif, faut pas m'en vouloir d'être lente. Tu sais, j'apprend. J'apprend a marcher sans que l'on m'aide. Mais il y a des personnes qui semblent s'amuser a me mettre des batons dans les roues. Est-ce si amusant de me voir trebucher, hein dis? Est-ce aussi rigolo que douloureux? J'aimerais bien savoir, parce que sinon je peux tenter de les divertir d'une autre manière tu sais.
Mais mon coeur a été necrosé, et brulé au fer blanc. Il est insensible et en décomposition. Ca me fait peur, car ça, je ne pourrais l'arreter seule. Je ne suis pas medecin, je n'ai ni la science infuse, ni les médicaments appropriés. Et pourtant, tu sais, j'en ai trouvé des substituts. Bon, je sais que ce n'est qu'illusoire vu que c'est mauvais a long therme. Et puis, on en devient addicte. Mais tu sais, ça limitait ma destruction dans un premier temps. Mais au final, je crois que cela à acceleré le processus de corruption. Parce que tu vois, j'avais du mal à respirer, et même à regarder les gens qui s'inquietaient pour moi, droit dans les yeux. Et c'est horrible, tu n'imagines pas. Car, vois-tu, je pense que ne pas regarder quelqu'un droit dans les yeux c'est un manque de franchise. Et je ne veux pas être malhonnête. Oh, je pense avoir été superficielle une partie de ma vie, mais tu sais, je suis si banale. Et ca me fait peur. Je veux bien mourir demain si on me promet que l'on ne m'oubliera pas. C'est terrible l'oublie.
Et puis je ne dors plus. Je fais des cauchemars, sanglants, terrifiants. Et il n'y a à personne a qui je peux les raconter, personne. Ou plutot, je ne sais plus à qui je serais capable de m'ouvrir sans préludes. Tu vois combien je suis mal barrée hein. Et puis, tu sais dans mon coeur tout est trouble. Je suis maintenant a peu près sure de certain sentiment. Et pourtant quand je les dévoile a la personne concernée, j'ai peur qu'elle me tourne le dos. Alors je les minimise. Comme ca, si je me prend une claque ca sera moins douloureux . Est-ce que tu arrives a me comprendre? C'est un vrai brouillon, mais j'en ai besoin, tu vois?
Et tu vois dans tout ça, j'ai besoin d'une personne. Là tout de suite maintenant. Et puis, je crois que j'en aurais besoin toute ma vie. Parce que tu vois, c'est le genre de personne en qui tu vas confier la pierre finale de ton édifice, de ton chateau. Non tu ne dois vraiment pas me comprendre. C'est long hein. C'est mal organisé. C'est très semblable au nuage émotionnel qui s'enmèle en moi.
Hey, tu vois ce que je veux dire ?
Et puis je ne dors plus. Je fais des cauchemars, sanglants, terrifiants. Et il n'y a à personne a qui je peux les raconter, personne. Ou plutot, je ne sais plus à qui je serais capable de m'ouvrir sans préludes. Tu vois combien je suis mal barrée hein. Et puis, tu sais dans mon coeur tout est trouble. Je suis maintenant a peu près sure de certain sentiment. Et pourtant quand je les dévoile a la personne concernée, j'ai peur qu'elle me tourne le dos. Alors je les minimise. Comme ca, si je me prend une claque ca sera moins douloureux . Est-ce que tu arrives a me comprendre? C'est un vrai brouillon, mais j'en ai besoin, tu vois?
Et tu vois dans tout ça, j'ai besoin d'une personne. Là tout de suite maintenant. Et puis, je crois que j'en aurais besoin toute ma vie. Parce que tu vois, c'est le genre de personne en qui tu vas confier la pierre finale de ton édifice, de ton chateau. Non tu ne dois vraiment pas me comprendre. C'est long hein. C'est mal organisé. C'est très semblable au nuage émotionnel qui s'enmèle en moi.
Hey, tu vois ce que je veux dire ?
Dimanche 25 janvier 2009 à 0:37
Et parfois, dans une journée, peut se passer 2 choses complétement extraordinaires :
- Retrouver la personne qui vous est le plus cher a votre coeur
- Et que votre ex vous reproche vos faits et gestes que vous regrettez pourtant amèrement.
Maintenant, j'ai envie de La* revoir. Et j'ai peur de mes vacances avec lui, qui semble me haïr plus que jamais...
Pfiou...
- Retrouver la personne qui vous est le plus cher a votre coeur
- Et que votre ex vous reproche vos faits et gestes que vous regrettez pourtant amèrement.
Maintenant, j'ai envie de La* revoir. Et j'ai peur de mes vacances avec lui, qui semble me haïr plus que jamais...
Pfiou...
Jeudi 22 janvier 2009 à 22:30
Hey toi. Tu sais c'est quoi le problème ? C'est de ne plus être ignorant. Ou alors de l'être trop.
Je ne sais plus comment vivre sans des bras autour de moi, une chaleur contre ma poitrine qui me soutiendrais. Ce sentiment fourbe qu'est de se sentir aimée . Et mon plus grand soucis, c'est que je suis devenue accro. terriblement adepte de cette jouissance inoffensive. Se sentir regardée, la douceur d'un sourire sur le visage. C'est ça notre soucis, aux adolescentes. Pour celles qui lisent, on se faufile dans une histoire qui n'est pas la notre. On s'abreuve des mots qu'on aimerait tellement entendre.
Et un jour, badaboum. Un homme, ou une femme, nous regarde. D'un regard different, de celui qui note notre propre différence. Et là, croyez-moi ou non, mais c'est le début de la fin. Une histoire qui dur "toujours pour toujours" ? Fichtre que je n'y crois plus. Et même si je me borne a dire ça, je sais que je possède encore une brindille éclairée, tout au fond de moi même qui s'efforce de l'esperer encore un petit peu.
Tout cela est affreusement brouillon n'est-ce pas? Et pourtant c'est à Toi que je m'adresse. Petit internaute qui passe par là. Pour la première fois ou non, cela reviens sans doute au même. Je ne veux plus passer par les grandes phrases pour dire de petites choses. Autant écrire peu, et dire ce que l'on a à dire.
Mon soucis, vois-tu, c'est que mon coeur est complexe et il divague.
As-tu déjà aimé et haïs quelqu'un? C'est horrible. N'est-ce pas?
As-tu déjà aimé quelqu'un, à sentir le grouffre s'etirer sous tes pieds, te chatouiller doucement les molets en te narguant ? Cette douce chaleur d'une peau frémissante?
As-tu déjà voulu détruire une personne? Non pas par les gestes, mais tout doucement, moralement ? Non pas que cette dite personne est méchante hein. Juste par plaisir ?
As-tu déjà rêver de mettre une bonne droite en pleine face de quelqu'un ? Sentir une lèvre se couper sur des dents?
As-tu déjà ressenti l'envie violente de faire l'amour? Une furie, passagère, mais drôlement puissante, une attraction pour un corps?
As-tu déjà pleuré car ta vie prennais une tournure forte déplaisante ?
As-tu déjà sentie la douce drogue remonter ton organisme, jusqu'au moment jouissant où elle atteind ton cerveau ?
T'es-tu simplement rendu compte de ce qui t'entourait ? Une prairie à la campagne, un oiseau en ville, un ciel bleu avec un nuage, une douce mélodie?
T'es-tu déjà allongé dans l'herbe du maintenant, encore mouillée de la rosée ? As-tu senti son odeur ?
T'es-tu rendu compte du son merveilleux d'un instrument ? La sensation d'une onde musicale te transperçant ?
Nous ne vivons que dans une vérité baclée, supperficielle, et virutelle. Une ignorance bien trop présente. Je suis ignorante. Comme toi, et comme lui ou bien comme elle. On y peut rien. A croire qu'avec le temps l'homme a perdu ses sens premiers. On dit que quand une personne cesse de fumer, de boire, et de vivre en ville, ses sens retrouvent un peu de leur aptitude.
Ahhh. Qu'est-ce que j'aimerai le croire !
Biensur, ceci n'a aucun interet, je vous l'accorde, ce sont les divagations d'une adolescente en pleine fleur de l'age.
J'ai les pieds gêlés, j'aime sentir mes mains brulântes sur ceux-ci.
Un livre, ma couette, les yeux lourds, et ma clé pour mon pays des rêves.
Tendre nuit.
Et... Je suis un chocolat "Tanariva". J'aime bien ce nom. Merci Monsieur Rêve de me l'avoir associé.
Je ne sais plus comment vivre sans des bras autour de moi, une chaleur contre ma poitrine qui me soutiendrais. Ce sentiment fourbe qu'est de se sentir aimée . Et mon plus grand soucis, c'est que je suis devenue accro. terriblement adepte de cette jouissance inoffensive. Se sentir regardée, la douceur d'un sourire sur le visage. C'est ça notre soucis, aux adolescentes. Pour celles qui lisent, on se faufile dans une histoire qui n'est pas la notre. On s'abreuve des mots qu'on aimerait tellement entendre.
Et un jour, badaboum. Un homme, ou une femme, nous regarde. D'un regard different, de celui qui note notre propre différence. Et là, croyez-moi ou non, mais c'est le début de la fin. Une histoire qui dur "toujours pour toujours" ? Fichtre que je n'y crois plus. Et même si je me borne a dire ça, je sais que je possède encore une brindille éclairée, tout au fond de moi même qui s'efforce de l'esperer encore un petit peu.
Tout cela est affreusement brouillon n'est-ce pas? Et pourtant c'est à Toi que je m'adresse. Petit internaute qui passe par là. Pour la première fois ou non, cela reviens sans doute au même. Je ne veux plus passer par les grandes phrases pour dire de petites choses. Autant écrire peu, et dire ce que l'on a à dire.
Mon soucis, vois-tu, c'est que mon coeur est complexe et il divague.
As-tu déjà aimé et haïs quelqu'un? C'est horrible. N'est-ce pas?
As-tu déjà aimé quelqu'un, à sentir le grouffre s'etirer sous tes pieds, te chatouiller doucement les molets en te narguant ? Cette douce chaleur d'une peau frémissante?
As-tu déjà voulu détruire une personne? Non pas par les gestes, mais tout doucement, moralement ? Non pas que cette dite personne est méchante hein. Juste par plaisir ?
As-tu déjà rêver de mettre une bonne droite en pleine face de quelqu'un ? Sentir une lèvre se couper sur des dents?
As-tu déjà ressenti l'envie violente de faire l'amour? Une furie, passagère, mais drôlement puissante, une attraction pour un corps?
As-tu déjà pleuré car ta vie prennais une tournure forte déplaisante ?
As-tu déjà sentie la douce drogue remonter ton organisme, jusqu'au moment jouissant où elle atteind ton cerveau ?
T'es-tu simplement rendu compte de ce qui t'entourait ? Une prairie à la campagne, un oiseau en ville, un ciel bleu avec un nuage, une douce mélodie?
T'es-tu déjà allongé dans l'herbe du maintenant, encore mouillée de la rosée ? As-tu senti son odeur ?
T'es-tu rendu compte du son merveilleux d'un instrument ? La sensation d'une onde musicale te transperçant ?
Nous ne vivons que dans une vérité baclée, supperficielle, et virutelle. Une ignorance bien trop présente. Je suis ignorante. Comme toi, et comme lui ou bien comme elle. On y peut rien. A croire qu'avec le temps l'homme a perdu ses sens premiers. On dit que quand une personne cesse de fumer, de boire, et de vivre en ville, ses sens retrouvent un peu de leur aptitude.
Ahhh. Qu'est-ce que j'aimerai le croire !
Biensur, ceci n'a aucun interet, je vous l'accorde, ce sont les divagations d'une adolescente en pleine fleur de l'age.
J'ai les pieds gêlés, j'aime sentir mes mains brulântes sur ceux-ci.
Un livre, ma couette, les yeux lourds, et ma clé pour mon pays des rêves.
Tendre nuit.
Et... Je suis un chocolat "Tanariva". J'aime bien ce nom. Merci Monsieur Rêve de me l'avoir associé.
Lundi 19 janvier 2009 à 19:40
Se rendre compte qu'on a des difficultés à avancer seule.
La question n'est même plus d'avancer,
Mais tout simplement de s'ouvrir sans craintes aux autres.
Elle* me manque. Vivement samedi...
Jolie...