Samedi 17 janvier 2009 à 20:46

Cette mélodie qui comble mon coeur ces derniers temps. Je ne l'écoute pas. J'avale au plus profond de moi chaque rythme, chaque note. La voix du chanteur aussi. Je monte le son. A n'en plus pouvoir. Je m'allonge et rêve d'un ailleurs. Une brulure aux doigts. Merde, ma clope est terminée. Je me laisse encore emporter par la musique. Jusqu'à n'en plus pouvoir. J'irais jusque la saturation complète. Jusqu'au moment ou mes veines exploseront ces airs musicaux. Où ma peau transpirera cette mélodie. 

Jusque ne plus voir Ses* yeux dans l'obscurité de ma chambre...
Jusque ne plus esperer son corps contre le miens...
Jusque les larmes sèchent sur mes joues...
Jusque ne plus entendre, ni sentir...

Jusque cette musique fasse partie de moi...


Explosez-moi le crâne de cette mélodie.

Samedi 17 janvier 2009 à 13:38


Suis-moi je te fuis.
Fuis-moi je te suis.

Jeudi 15 janvier 2009 à 0:36

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Il y a tant de choses qui aimeraient sortir mais là...
J'ai quelques difficultés ...

Mardi 13 janvier 2009 à 18:25

Dystrophie ovarienne de style OPK.
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Lundi 12 janvier 2009 à 20:05

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Il n'aime que mon corps. Il ne s'en cache pas.
J'aime son corps aussi. Je ne le cache pas non plus.

Après tout, ce n'est qu'un jeu...
Tant qu'on le sait tous les deux...

Qu'il me surprenne. Qu'il enterre mes vieux démons.
Ainsi que tout ce qui noircit mon coeur.
Mais je n'y crois pas.
Qu'il essaye. Après tout, je ne suis pas à ça près.
 

Dimanche 11 janvier 2009 à 11:00

Elle a l'impression d'être vide.
Et Elle* lui manque terriblement.

Elle erre dans les décombres de ce qu'il reste d'elle.
Oubliant promesses d'espoir & de bonheur.

C'est en baissant la tête qu'elle s'aventure dans ce qu'il lui reste de chemin a faire.
Et si elle tribuche, elle ne sait pas comment elle se relèvera.

Lui ne l'aidera pas.
Il n'aime que son corps et non ce qu'elle y a dedans.
Après tout, ce qu'il y a l'intérieur n'est guère glorieux.
Alors qu'importe ?
 

Samedi 10 janvier 2009 à 14:09



"Tu ignores si superbement les sentiments, les aleas de l'amour."

Merci.

Vendredi 9 janvier 2009 à 12:57

Tu m'as promis un voyage autour du monde. On ira dans les pays pauvres, et peut-être les pays riches. Emmene-moi dans les pays reculés de l'Af;rique noire, ou de l'Asie. Même de l'Océanie, ou de l'Europe occidentale. Partons. Loin de tout ça. Loin de tout ce qui nous raccrocheencore à nos racines. Tu m'as dit qu'on irait en voyage. Juste Toi & Moi. Perspective d'un avenir, court, mais rempli de bonheur.
Emmène-moi loin de tout cela. Mais surtout, ne me laisse pas m'accrocher à toi. Je me l'interdis, formellement. 
Ne prend pas entre tes doigts mes cheveux comme Elle* le faisait. Ne me regarde pas du même regard.
Mais, surtout, ne me laisse pas tomber. Pas maintenant.

Mercredi 7 janvier 2009 à 17:25

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Lorsque le Sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
(Proverbe chinois)

Lorsque le Sage explique que son doigt n(a aucune importance et que c'est la lune qui est intéressante, l'imbécile écoute le sage et trouve qu'il parle vraiment bien.
(Variante moderne de ce proverbe.)

Lorsque le Sage exige de l'imbecile qu'il regarde cette "bon sang de lune" l'imbécile a peur mais ne lève pas la tête.
(Variante très moderne de ce proverbe.

Lorsque le Sage finalement renonce a parler de la lune, et lance la conversation sur son doigt qui après tout semble intéresser l'imbécile, ce dernier se dit que le Sage est un homme qui sait se faire comprendre et parler de tous les sujets, même les plus incongrus. Comme les doigts.
(Variante encore plus moderne dudit proverbe.)

Lorsque le Sage est mort, l'imbécile se demande: "Mais au fait, de quoi voulait bien parler le Sage quand il dressait le doigt si haut au dessus de sa tête ?"
(Variante définitive dudit proverbe.)
 
Bernard Werber
- Paradis sur mesure -

 

Lundi 5 janvier 2009 à 19:01

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Début d'un Enfer. Du miens.
 
Et c'est parti pour les visites. Les interrogatoires. La gène.
Mais aussi d'une peur. Celle de ne jamais pouvoir avoir d'enfant.
D'une éventuelle opération.

Et si jamais ce que je redoute s'avère être réel...
Je ne donne franchement pas chèr de ma peau.

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